Une étude diagnostique d’une organisation proche de l’Union Africaine, vient d’épingler plusieurs faîtières et représentations d’ONGs internationales évoluant en Afrique, un seul mal comme dénominateur commun : leur forte propension du domaine politique !
En effet, c’est comme si les problèmes qui assaillent que sont: l’analphabétisme, les mutilations génitales féminines et Excision ou plusieurs autres violences basées sur le genre, les questions de VIH SIDA, paludisme, Tuberculose, etc. n’intéressent plus personne !
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Cette complicité active de ces fameuses ONGs qui volontairement foulent au pied non seulement leur propre convention d’établissement mais deviennent caution morale en toute connaissance de cause car se faisant écho des inepties et balivernes racontées dans leur tribune. Au finish, se sont des rapports partiaux et partisans cobrandés publiés çà et là et relayés par des ONGs devenues de vrais suppôts et officines à la dévotion de politiques tapis dans l’ombre!
Si rien n’est fait pour pallier à de telles pratiques très dommageables pour l’opinion publique et la vérité, c’est toute la crédibilité de cette belle voie médiane qui risque de prendre un sacré coup avec pour conséquence, de ne livrer qu’un environnement bipolaire fait de manichéisme !
Ce problème de gouvernance interne au sein de la société civile africaine et singulièrement guinéenne, mérite d’être suffisamment dénoncé. A cet effet, j’ai l’honneur de l’inviter à plutôt faire face :
– À la professionnalisation de ses ONGs membres;
– À travailler à son unification ne serait-ce que pour l’obtention d’une plateforme minimale de concertation entre acteurs non étatiques en vue d’être une force réelle de propositions ;
– À l’érection ou l’édification d’un vrai espace de dialogue social pour contribuer à apaiser davantage l’espace public car la paix reste la condition sine qua non d’un développement harmonieux et durable.
Bonne fête aux afro – optimistes!
Souleymane Doumbouya, Consultant socioéconomique